Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours aimé les jeux vidéo.

La photo que vous voyez ici, c’est moi juste après avoir acheté une vieille borne d’arcade Jeutel des années 70.

C’était il y a un peu plus de 10 ans, et déjà à l’époque, j’étais nostalgique des jeux de mon enfance.

Ceux qui ont vécu dans les années 70, 80, 90 et début 2000 connaissent bien les salles d’arcade et les bornes de jeu dans les fêtes foraines.

Si vous avez connu cette période, des titres comme Time Crisis, Double Dragon, Dragon’s Lair, Virtua Cop 2, The House of the Dead vous parlent sûrement.

Ces jeux faisaient passer le temps à toute vitesse et fondre nos pièces de 10 francs ou de 2 euros.

Il y avait d’ailleurs deux catégories de copains quand j’étais gosse : ceux qui possédaient une Neo Geo et ceux qui n’en avaient pas.
Pour la première catégorie, souvent représentée par une seule personne, les parents devaient dépenser des fortunes pour acheter les cartouches et permettre à leur enfant, ainsi qu’à tous ses copains du mercredi après-midi, de profiter des jeux d’arcade dans le salon.

La réalité, c’est que je suis nostalgique de cette époque parce que c’est mon histoire, mon vécu, mes souvenirs.
Je me rappelle des couleurs, des sons et des odeurs.

Les générations futures auront, elles aussi, leurs propres souvenirs et pourront partager la nostalgie qu’elles éprouveront à l’évocation par exemple, des FPS multijoueurs ou d’autres expériences vidéoludiques de leur enfance.

Il y a 25 ans, je jouais sur des bornes d’arcade ; il y a 10 ans, j’en retapais une pour retrouver les sensations de l’époque…

Une chose est sûre : je continuerai à jouer, parce que plus qu’un métier, c’est une passion, et cela a fait de moi qui je suis.